« Appelée Equifeel, la compétition d’équitation éthologique, reconnue et réglementée par la FFE, se présente sous la forme de différents tests à pied où le cavalier choisit des niveaux de difficulté de contrats, afin de mettre en valeur la complicité avec son cheval, basée sur la compréhension, la réflexion et le ressenti. »
Source: www.equitation-ethologique-alsace.fr
Equifeel, c’est le nom que la FFE a donné aux exercices, manipulations et connaissances autour de cheval sous le manteau éthologique. Exercices qui, en principe chaque propriétaire, voir cavalier, pratique avec son cheval tous les jours ou au moins très souvent. Je ne suis pas si sur que d’avoir la patience pour éduquer son cheval, lui faire apprendre des choses en douceur doit obligatoirement mis en relation avec une méthode de monte et encore plus loin, d’organiser des concours avec. Mettre un licol sur la tête de son cheval se fait en classique ainsi que western pour citer que deux styles différents.
Parlons concours, la FFE a mis en route plusieurs tests, facilement lisible sur leur site, donc il n’est pas nécessaire de faire un copier coller ici.
Voici quelques exemples :
Le cavalier à pied doit passer plusieurs tests différentes (17 en tout) avec son cheval et les difficultés sont partagées sur trois niveaux. La différence entre les niveaux sont variables car on peut (bien sur sous licence FFE) gagner des points. (10, 15 ou 20) Par exemple tenir son cheval/poney à la longe ou le faire suivre en liberté.
Pour moi il est plutôt normal que mon cheval reste de mon coté à pied, qu’il me respecte en marchant sur la route et accepte d’être guidé par moi, peu importe si je tourne à droite ou à gauche.
Qui ne serait pas content si son cheval rentre dans un van sans poser des problèmes, même si cela dure plus que 1 minute 30 (temps prévu en concours).
Accepter de marcher sur une bâche c’est pour moi une partie d’éducation pour chaque cheval, un exercice de base.
Bon, il faut toujours garder dans l’esprit de rester positif et à mon avis, demander à des cavaliers de manipuler leur cheval comme leur compagnon, avec le respect qu’il faut mais aussi de la fermeté qui très souvent fait la différence, n’est jamais mal.
Faut-il seulement que le mot Equifeel (Equitation et feeling) commence à inspirer les cavaliers du dimanche qui prennent la bouche du cheval pour un morceau de bois et qui (malheureusement) très souvent maltraitent leur compagnon sur un parcours d’obstacles.
L’expérience le prouve, vouloir gagner un concours peut aussi mener à des réactions non voulues, donc je me demande si un concours sur la patience des cavaliers ne serait plus important que faire des concours Equifeel.