- Récapitulatif des maîtres et de leurs influences
- Kikkulli XVe siècle Av J-C d’origines Mitanienne
- Xénophon IVe siècle Av J-C Grec
- GRISONE Frederico XVIe siècle à Naples, Italie
- FIASCHI Cesare XVIe siècle
- PIGNATELLI Giovanni XVIe siècle Italie (élève de GRISONE à Naples)
- DE LA BROUE Salomon XVIe siècle France (élève de PIGNATELLI)
- PLUVINEL Antoine XVI-XVIIe siècle France (élève de PIGNATELLI)
- William C. Duc de NEWCASTLE XVIIe siècle Angleterre
- VON DER AUE Pinter XVIIe siècle Allemagne
- VON SEYDLITZ Friedrich W. XVIIIe siècle Prusse
- DE LA GUERINIERE François R. XVII-XVIIIe siècle France
- HUENERSDORF Ludwig XVIII-XIXe siècle Allemagne
- WEYROTHER Maximilian XIXe siècle Autriche
- SEEGER Luis XIXe siècle Allemagne (élève de WEYROTHER)
- SEIDLER E. F. XIXe siècle Allemagne (élève de WEYROTHER)
- BAUCHER François XIXe siècle France
- Antoine conte D’AURE XIXe siècle France
- Alexis L’HOTTE XIXe siècle France (élève de BAUCHER et D’AURE)
- Gustav STEINBRECHT XIXe siècle Allemagne (élève de SIEGER)
- Paul PLINZER XIX-XXe siècle Allemagne (élève de STEINBRECHT)
- James FILLIS XIX-XXe siècle Angleterre (élève de CARON, lui-même élève de BAUCHER)
- Edouard DE CARPENTRY XIX-XXe siècle France
- Frederico CAPRILLI XIX-XXe siècle Italie
Ouvrage : « Principe de dressage et d’équitation » et « Journal de dressage » (qu’il écrit en russe).
Né dans une famille d’écuyers de cirque, c’est là qu’il commença sa formation.
Il inventa le galop sur trois jambes, en avant ET en arrière.
On lui doit aussi la tenue des rênes Fillis.
Il influença tant l’équitation de spectacle, de cavalerie que de compétition.
Il prônait : « la recherche de l’équilibre, de la légèreté dans le mouvement en avant, dans l’impulsion, pour obtenir par l’effort moindre les effets les plus énergiques ».
Le Duc Nicolas lui demanda de donner un stage aux officiers de cavalerie.
Puis il fût nommé colonel en Russie.
Bien qu’un très grand homme de cheval, FILLIS n’en était pas moins quelque peut rétrograde face à certaines nouveautés. La preuve dans ce passage tiré de son livre « Principes de dressage et d’équitation».
« Depuis quelques temps, il est question de dames qui montent à califourchon. Outre que l’amazone perd ainsi toute grâce féminine, il n’y a rien de moins pratique. Que manque-t-il en général aux cavaliers ? L’assiette, c’est-à-dire la solidité. L’assiette manquera bien plus encore aux femmes qui ont la cuisse ronde et beaucoup moins énergique que l’homme. Il est bien inutile de discuter longtemps là-dessus. Les chevaux qui ne sont pas courtisans, feront faire de telles chutes à celles qui voudront pratiquer ce nouveau genre d’équitation qu’elles ne tarderont pas à y renoncer. »
Bien que morphologiquement on ne puisse pas vraiment lui donner tort…