- Récapitulatif des maîtres et de leurs influences
- Kikkulli XVe siècle Av J-C d’origines Mitanienne
- Xénophon IVe siècle Av J-C Grec
- GRISONE Frederico XVIe siècle à Naples, Italie
- FIASCHI Cesare XVIe siècle
- PIGNATELLI Giovanni XVIe siècle Italie (élève de GRISONE à Naples)
- DE LA BROUE Salomon XVIe siècle France (élève de PIGNATELLI)
- PLUVINEL Antoine XVI-XVIIe siècle France (élève de PIGNATELLI)
- William C. Duc de NEWCASTLE XVIIe siècle Angleterre
- VON DER AUE Pinter XVIIe siècle Allemagne
- VON SEYDLITZ Friedrich W. XVIIIe siècle Prusse
- DE LA GUERINIERE François R. XVII-XVIIIe siècle France
- HUENERSDORF Ludwig XVIII-XIXe siècle Allemagne
- WEYROTHER Maximilian XIXe siècle Autriche
- SEEGER Luis XIXe siècle Allemagne (élève de WEYROTHER)
- SEIDLER E. F. XIXe siècle Allemagne (élève de WEYROTHER)
- BAUCHER François XIXe siècle France
- Antoine conte D’AURE XIXe siècle France
- Alexis L’HOTTE XIXe siècle France (élève de BAUCHER et D’AURE)
- Gustav STEINBRECHT XIXe siècle Allemagne (élève de SIEGER)
- Paul PLINZER XIX-XXe siècle Allemagne (élève de STEINBRECHT)
- James FILLIS XIX-XXe siècle Angleterre (élève de CARON, lui-même élève de BAUCHER)
- Edouard DE CARPENTRY XIX-XXe siècle France
- Frederico CAPRILLI XIX-XXe siècle Italie
Ouvrage : Kikkuli (trad. Émilia Masson), « L’Art de soigner et d’entraîner les chevaux » Favre, 1988.
Ses écrits sont actuellement les plus anciens en notre possession.
Bien que découverts au début du XXe siècle, il aura fallu attendre les années 80 pour que tout le monde puisse les lire.
En effet, les tablettes de son enseignement (en écriture cunéiforme), étaient dispersées dans divers musées à travers le monde.
Sa méthode : Etonnemment, elle est très proche de celle encore utilisée aujourd’hui.
En effet, il préconisait de garder les chevaux à l’écurie, de les couvrir, les nourrir trois fois par jour d’avoine, d’orge et de foin.
Côté entraînement, il était très proche de nos actuels cavaliers d’endurance et de complet.
Il prônait l’entraînement progressif, les variations d’effort dans une même séance et parlait même d’apports en électrolytes.
Il conseillait aussi de laisser des temps de repos suffisants pour ne pas entraîner de courbatures.
L’université de Sydney s’est penchée sur cette méthode. Il en ressort que les résultats sont excellents.
Amis de l’endurance, vous savez ce qu’il vous reste à faire.